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Comment la mobilité douce permet aux entreprises de devenir plus durables ?

Alors que la Semaine Européenne de la Mobilité vient de s’achever, ne perdons pas nos bonnes habitudes ! En effet, du 16 au 22 septembre, nous étions incités à opter pour des modes de déplacements plus durables. Le thème de cette année ? L’intermodalité, soit le fait de se déplacer en utilisant plusieurs modes de transport. Cette mobilité durable, aussi appelée écomobilité, est la solution a de nombreux enjeux auxquels nous sommes actuellement confrontés : réchauffement climatique, fin des ressources énergétiques fossiles, pollution de l’air, sédentarité. Les entreprises peuvent participer à cette transition en aidant leurs employés à venir au travail à vélo, en co-voiturage ou encore en trottinettes électriques.

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En 2015, L’ONU adopte 17 Objectifs de Développement Durable qui proposent une feuille de route universelle pour répondre aux défis actuels de notre monde. Parmi ces ODD, le 14. Vie Aquatique correspond à la protection des océans, ce qui peut paraître assez éloigné des objectifs sur lesquels les entreprises peuvent avoir un impact. Pour éclaircir le rôle des entreprises dans la préservation des océans, la Fondation de la Mer, en collaboration avec le Bureau Veritas et le ministère de la Mer, ont créé un label dénommé OCEAN APPROVED® qui identifie et rassemble toutes les organisations (entreprises, collectivités) qui s’engagent à réduire leurs impacts sur l’Océan, en allant bien au-delà du seul respect des réglementations en vigueur.

Comment les Objectifs de développement durable peuvent-ils alimenter la démarche RSE ?

Depuis septembre 2015, les états membres de l’Organisation des Nations Unies (ONU) ont adoptés, dans le cadre de l’Agenda 2030, 17 Objectifs de Développement Durable, remplaçant les Objectifs du Millénaire pour le développement qui peuvent se définir comme un programme universel et une feuille de route pour tendre vers une planète vivable et durable pour tous. Ces Objectifs de Développement Durable répondent aux défis mondiaux actuels, notamment ceux liés au climat, à la dégradation de l’environnement, à la pauvreté, à la paix et à la justice. Etant interconnectés, chacun doit être atteints pour permettent la réalisation des autres, d’ici à 2030. Ils concernent autant les individus, que les gouvernements, que les entreprises, qui pour ces dernières ont un rôle capital à jouer.

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Depuis 2015, La loi de Transition Énergétique pour la Croissance Verte a introduit la notion de Stratégie Nationale Bas Carbone, véritable feuille de route Française, dont l’ambition est d’atteindre la neutralité carbone d’ici 2050. Comme toute stratégie nationale, rien ne se passera ni sans réglementation ni sans forte volonté des entreprises privées à réduire leurs émissions de gaz à effet de serre. Avant tout, pour chacune de nos entreprises, il est primordial d’établir la situation de départ, c’est-à-dire notre quantité d’émissions de gaz à effet de serre, avant de définir notre cible et trajectoire. Mais quel bilan ? pour qui ? pour quoi ? Aujourd’hui on entend parler d’une multitude de termes et nous allons tenter dans cet article de vous expliquer ce qui relie et différencie le GHG Protocol, le Bilan GES, et le Bilan Carbone®.

Inclure les équipes

Pour rester compétitive, toute entreprise doit faire évoluer son modèle pour accroitre et fidéliser sa clientèle. Que ces enjeux soient au niveau de ses modes et méthodes de travail, de sa politique RSE ou RH, de ses processus, ses modèles de vente … nous savons qu’il faut accompagner les collaborateurs en parallèle des projets de transformation pour sécuriser leur adhésion par leur compréhension. Mais en cette rentrée 2021, est-ce toujours suffisant ? cela leur apportera-t-il assez de motivation pour reprendre leur activité comme si rien n’avait changé depuis Mars 2020 ?